Gonarthrose
CONSULTER LE PROTOCOLE DE TRAITEMENT
INDICATIONS
INDICATIONS GLOBALES
Troubles des tendons
- Tendinite calcifiante de l’épaule
- Tendinopathie distale chronique du biceps
- Tendinopathie proximale de l’ischio-jambier
- Epitrochléite ou épicondylite médiale
- Syndrome douloureux du grand trochanter
- Tendinopathie calcanéenne d’insertion
- Périostite tibiale médiale
- Tendinopathie calcanéenne corporéale
- Tendinopathie rotulienne
- Aponévrosite plantaire
- Ténosynovite primitive du long biceps
- Epicondylite
- Syndrome douloureux sous-acromial
RETOUR
GLOSSAIRE DES MALADIES
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L’arthrose est la cause de douleur et d’incapacité la plus fréquente à travers le monde. Elle entraîne un impact négatif considérable sur la qualité de vie des patients.
La hanche et le genou sont les plus touchés, particulièrement chez les personnes âgées. Les femmes sont davantage concernées que les hommes. Il n’existe aucun remède contre l’arthrose. Les approches thérapeutiques visent à soulager la douleur et à maximiser la capacité fonctionnelle et la qualité de vie, tout en atténuant les effets indésirables des médicaments et les procédures invasives.
L’arthroplastie totale ou partielle est généralement recommandée chez les patients atteints de gonarthrose souffrant d’une incapacité sévère et d’une douleur réfractaire. Il a été démontré qu’une arthroplastie totale du genou permet de soulager la douleur de façon plus significative et d’améliorer la capacité fonctionnelle par rapport au traitement conservateur seul, qui inclut notamment la rééducation, un régime alimentaire spécifique, des exercices, l’utilisation de semelles intérieures et l’administration d’analgésiques.
En revanche, l’arthroplastie totale du genou peut être associée à un nombre plus élevé d’évènements indésirables graves. En outre, l’arthroplastie partielle ou totale du genou n’est parfois pas envisageable en raison de pathologies secondaires, de disponibilité limitée et/ou de coûts excessifs.
PREUVES CLINIQUES
Imamura et al., J Rehabil Med 2017; 49:54-62.*
Radial extracorporeal shock wave therapy for disabling pain due to severe primary knee osteoarthritis.
LIRE RÉSUMÉ
Zhao et al., J Surg Res 2013;185:661-666.*
Efficacy of extracorporeal shockwave therapy for knee osteoarthritis: a randomized controlled trial.
LIRE RÉSUMÉ*Imamura et al. (2017) ont utilisé la pièce à main à ondes radiales, tandis que Zhao et al. (2013) ont utilisé la pièce à main Power+. Par conséquent, la densité énergétique plus élevée appliquée par Zhao et al. (2013) pourrait justifier les différents résultats obtenus lors des deux études.
PROTOCOLE DE TRAITEMENT
| Nombre de séances | 3 à 5 |
| Intervalle entre deux séances | 1 semaine |
| Pression d’air Evo Blue® | 2 à 4 bar |
| Pression d’air Power+ | 1.5 à 3 bar |
| Impulsions | 2000 sur le point douloureux |
| Fréquence | 8Hz à 12Hz |
| Applicateur | 15 mm |
| Pression cutanée | Modérée à forte |